Il était une fois « Le loup et moi », ou la belle histoire d’un metteur en scène, Jean Christophe Smukala, originaire du Nord désireux de représenter une Mère Grand géante…
« Le décor exprime un vrai sens de l’esthétique. Intégralement en osier, il situe l’histoire dans un monde à part, irréel » Laura Plas Les trois coups.
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Le cahier des charges lié aux envies de la Compagnie les Globe-trottoirs et à leurs contraintes logistiques nous a plongé dans une aventure riche en technique et en créativité: la jupe de la Mère grand est en 2 parties et plus arrondie qu’à l’accoutumé dans sa partie supérieure, 100% osier et rotin d’où une grande légèreté ; les trois arbres sont fait de deux parties aussi, les montants de la partie haute, à partir d’osier branchu, où Zsazsa Mercury-Cohen est venu illuminer le tout de ces fleurs aux tons subtils ; une porte, une souche d’arbre. Clin d’œil aussi à la belle vannerie traditionnelle : la malle, très connue des compagnies théâtrales de la génération précédente et, comme deux cerises sur le gâteau, les 2 mandelettes rondes, vannerie sur moule, fine et légère. Le parti pris de l’osier blanc confère au spectacle lumière et délicatesse.
Plus d’infos : www.globetrottoirs.com
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